Pytanga la reveuse......

**pytanga** Lun 28 Mar 2011 - 0:11

Il y á très, très longtemps dans une terre bien lointaine, vivait mon peuple d’origine elfique, heureux dans une grande forêt, á la végétation luxuriante ou coulaient des ruisseaux d’eau cristalline entre des pierres d’agate.

Des oiseaux multicolores au ramage divin vivaient en harmonie avec les elfes auquel, les nuits de pleine lune, ils offraient les plumes de leurs queues pour qu’ils puissent faire les couronnes d’apparat dont ils s’adornaient lors de leurs rites en honneur de leur Dieu .

Malheureusement les Dieux du chaos, jaloux de toute cette beauté qui blessait leurs yeux par la splendeur qui irradiait ce bout de terre, décidèrent de la détruire pour toujours.

Pour commencer ils rassemblèrent tout les nuages et les vents de l’univers, et lancèrent leurs furies sur la terre de mon peuple, en peu de temps il ne restait pas un arbre sur pied, les oiseaux gisaient morts dans la boue des ruisseaux qui étaient sortis de leurs lits et avaient inondé toute la terre environnante, pour terminer ils déchaînèrent les forces de la terre, en faisant surgir des volcans qui vomirent des torrents de lave et de cendre sur les pauvres restes de ce qui fût la perle de ce monde.

Un petit groupe de prêtres et prêtresses qui en ce moment étaient dans un temple prés de l’océan purent se sauver en employant un bateau d’apparat que normalement servait pour saluer le Soleil au solstice d’été, et après avoir vogué pendant de longs jours, désespérés mais toujours soutenus par leurs grande foi, ils touchèrent terre par un jour triste et gris.

Ce lieu inconnu se révélât pour eux inhospitalier, froid et traître, ils souffrirent la faim ne trouvant pas les fruits ni les racines auquel ils étaient habitués á consommer, l’eau était saumâtre, des animaux sauvages mettaient leurs vies en péril et après quelques lunes le grand prêtre qui se trouvait par mis eux décida qu’il fallait reprendre la mer et chercher une contrée plus clémente.

Finalement en voguant vers le sud un jour ils avisèrent une île verte qui leurs semblait plus accueillante et décidèrent de tenter leurs chance.

Ils s’adaptèrent assez bien á leurs nouveau environnement et connurent une nouvelle créature pour eux inconnue : l’humain.

Le temps passait, des centaines de lunes s’éculèrent, les hommes et les elfes même en vivant de manière différente apprirent á s’accepter mutuellement á tel point que mon père aima passionnément une femme et moi, je suis le fruit de cet amour impossible pour eux.

Ceci est l’histoire que mon père me raconta, je n’ai pas connu ma mère qui mourut en me donnant le jour.

Je vous remercie pour la patience infinie dont vous avez fait preuve pour m’avoir écoutée, j’espère au sein de votre alliance et sous votre sage enseignement arriver un jour á posséder la force morale comme physique pour un jour partir á la recherche du paradis perdu de mes pères et avec votre aide .........